mardi 30 avril 2013

Nabilla virée de Wikipédia car "sans intérêt encyclopédique"

Une fiche Wikipédia avait été créée au nom de Nabilla, la star des "Anges de la téléréalité". Les contributeurs du site ne l'ont pas jugée assez digne d'intérêt... 



"Allô, quoi. T'es connue et t'as pas ta fiche sur Wikipédia". Nabilla Benattia, qui s'est fait un prénom grâce à l'émission de la chaîne NRJ12 Les Anges de la téléréalité, a vu samedi la fiche créée à son nom sur l'encyclopédie en ligne Wikipédia effacée du site. Selon La Dépêche du Midi, la décision vient des contributeurs de Wikipédia, des internautes bénévoles, pour qui Nabilla est "dans le buzz" et ne présente "aucun intérêt encyclopédique".

S'il existe toujours une entrée "Nabilla Benattia", la page est automatiquement redirigée vers celle de l'émission qui l'a fait connaître, Les Anges de la téléréalité. La création d'une page Nabilla avait suscité une conversation passionnée entre les contributeurs du site, certains pensant qu'elle y avait sa place, d'autres non.

Au bout de 14 jours de débat, un vote a donc eu lieu pour savoir si l'auteure des cultes "allô, quoi? T'es une fille, t'as pas de shampoing" et "la guerre mondiale de 78" avait sa place sur l'encyclopédie en ligne. Résultat: 44 contributeurs ont voté pour garder Nabilla, 60 pour l'exclure. 

"Allô, quoi. T'es connue et t'as pas ta fiche sur Wikipédia". Nabilla Benattia, qui s'est fait un prénom grâce à l'émission de la chaîne NRJ12 Les Anges de la téléréalité, a vu samedi la fiche créée à son nom sur l'encyclopédie en ligne Wikipédia effacée du site. Selon La Dépêche du Midi, la décision vient des contributeurs de Wikipédia, des internautes bénévoles, pour qui Nabilla est "dans le buzz" et ne présente "aucun intérêt encyclopédique".

S'il existe toujours une entrée "Nabilla Benattia", la page est automatiquement redirigée vers celle de l'émission qui l'a fait connaître, Les Anges de la téléréalité. La création d'une page Nabilla avait suscité une conversation passionnée entre les contributeurs du site, certains pensant qu'elle y avait sa place, d'autres non.

Au bout de 14 jours de débat, un vote a donc eu lieu pour savoir si l'auteure des cultes "allô, quoi? T'es une fille, t'as pas de shampoing" et "la guerre mondiale de 78" avait sa place sur l'encyclopédie en ligne. Résultat: 44 contributeurs ont voté pour garder Nabilla, 60 pour l'exclure.

"Notoriété ou influence à long terme"

Interrogé lundi par Le Figaro, le président de Wikimédia France, Rémi Mathis, indique que "pour accepter un contenu, Wikipédia évalue la notoriété de la personne, pas forcément sur le très long terme mais en tout cas avec un minimum de recul", et ce afin d'éviter "de colporter le buzz de la semaine".

Sur Wikipédia, la contribution est libre, mais un internaute peut proposer à la suppression une page écrite par un autre. Dans ce cas, un débat s'engage sur la pertinance de la page, auquel est admis tout internaute ayant contribué au site au minimum 50 fois.

Rémi Mathis indique également que l'un des principaux critères pour posséder une fiche Wikipédia est de posséder "une notoriété ou une influence dans son champ d'activité sur le moyen, long terme". Que les fans de Nabilla se rassurent donc: si elle continue à faire le buzz, sa page défunte pourrait être réhabilitée...

 

Google Now : l’assistant intelligent disponible sur iPhone et iPad



Google Now, le service de recherche prédictive et d'informations contextualisées est désormais disponible sur iPhone et iPad. L'application s'adresse plus particulièrement aux utilisateurs des services connectés de Google, et se veut un concurrent de Siri.
Disponible sur Android depuis la version Jellybean de l'OS, Google Now est une application qui permet aux mobinautes de recevoir des informations contextualisées et personnalisées, par un système de "fiches" ou de "cartes" paramétrables : météo, points d'intérêt à proximité, informations sur des vols, meilleur itinéraire pour ses trajets quotidiens, rendez-vous à venir, etc.. Une vingtaine de catégories d'informations sont disponibles, elles peuvent être activées ou désactivées à tout moment.
Pour fournir des informations au plus près des besoins des utilisateurs, Google Now se synchronise avec les services en ligne de Google Gmail, Agenda(calendrier) et Maps.
Google Now est disponible sur iOS à travers la dernière mise à jour de l'application Recherche Google (3.0) pour iPhone et iPad.

Source : http://www.geekparadize.fr/tech/google-now-lassistant-intelligent-disponible-sur-iphone-et-ipad/

Le premier site web voyait le jour il y a 20

Le temps passe. Il y’a vingt ans, le premier site web voyait le jour. Pour l’occasion, il est remis en ligne à son adresse originale.

Le CERN a accéléré plus d’une chose…

C’est le 30 avril 1993 que  Le CERN « inaugurait » le World Wide Web, pensé par Tim Berners-Lee, avec le tout premier nom de domaine. Le monde s’ouvrit alors petit à petit à ce que nous connaissons actuellement et dont nous ne pouvons plus nous passer, le web. Heureusement d’ailleurs que le CERN a mis à disposition gracieusement ses travaux qui allaient servir de base à ce qui nous sert actuellement de réseau mondial, sans quoi, nous n’en serions sans doute pas là…
Pour les curieux, le site est en ligne à son adresse d’origine, et on peut y retrouver les informations de base sur les principes d’internet. Basique, forcément, mais intéressant…

Source : http://www.s2pmag.ch/2013/04/30/le-premier-site-web-voyait-le-jour-il-y-a-20-ans/

Au Kenya, le téléphone mobile se transforme en banquier



Il y a six mois, Jane Adhiambo Achieng se voyait refuser un modeste prêt d'une banque kényane -- 200 euros à peine -- pour développer son étal de fruits et légumes. Ses revenus étaient trop faibles.
C'est finalement auprès d'un nouveau service de prêt que cette femme de 42 ans, au chiffre d'affaires de quelque 400 euros par mois, a trouvé les ressources financières nécessaires à son petit commerce de rue: une application téléphonique appelée M-Shwari.
M-Shwari est une nouvelle plate-forme de service financier, qui offre aux clients du premier opérateur téléphonique kényan Safaricom la possibilité d'ouvrir des comptes-épargne ou encore d'emprunter par le seul biais de leur téléphone portable.
M-Shwari est une extension d'un service déjà existant, M-Pesa (M pour mobile, Pesa pour argent en swahili), qui permet depuis 2007 aux détenteurs de mobiles (70% de la population kényane) d'envoyer et recevoir de l'argent, ou de payer des factures sans passer par le circuit bancaire.
Selon la Banque centrale kényane, 12 millions de Kényans au moins -- sur une population de quelque 42 millions d'habitants -- n'ont encore pas accès à un compte bancaire. L'idée est, avec M-Shwari (littéralement "pas de tracas"), de leur étendre la palette de services financiers aux prêts ou à l'épargne.
"Nous nous sommes toujours demandé comment développer M-Pesa. Nous savions qu'il y avait une limite à casser pour atteindre une nouvelle frontière," explique Nzioka Muita, responsable communication chez Safaricom.
Des solutions bancaires pour le secteur informel
A travers sa nouvelle plate-forme, Safaricom explique que ses clients peuvent à tout moment ouvrir un compte bancaire virtuel, y placer ou retirer leur épargne et bénéficier de micro-crédits avec simplement 100 shillings (un peu moins d'un euro) sur ce compte.
"C'est un produit pour quiconque pense qu'un service bancaire ne devrait pas être source de tracas. Pas de formulaire à remplir, pas besoin de se déplacer dans une succursale. Tout ce que vous devez faire, c'est +clic, clic, clic+", poursuit M. Muita.
Les prêts doivent être remboursés en un mois, avec un taux d'intérêt de 7,5% -- bien inférieur à celui pratiqué par les banques traditionnelles.
La nouvelle application a rencontré un succès immédiat: dès le premier jour de l'opération fin 2012, 70.000 comptes ont été ouverts.
"Jusqu'ici, personne dans le secteur bancaire traditionnel n'avait pensé à mettre en place une telle idée," commente Tiberius Barasa, un expert économique à l'Institut kényan d'analyse et de recherche politique.
"Je suis sûr que quelques banquiers surveillent M-Shwari pour voir si le service représente une menace potentielle à leur activité," poursuit-il.
Safaricom contrôle quelque 70% du marché de la téléphonie mobile kényane, avec environ 19 millions d'abonnés. 15 millions d'entre eux détiennent déjà un compte M-Pesa. Et à lui seul, le service M-Pesa voit transiter plus de 50 millions de dollars (38 millions d'euros) par jour au Kenya.
Safaricom avait lancé M-Pesa sans partenaire bancaire. Pour M-Shwari, l'opérateur s'est adossé à une banque privée kényane -- la Commercial Bank of Africa (CBA), détenue en majorité par la famille du nouveau président kényan Uhuru Kenyatta. La CBA apporte son expertise et pourrait bien, disent les experts, prendre elle-même de l'envergure grâce à ce partenariat.
Mais les analystes prédisent tout de même que les principaux bénéficiaires de ce nouveau service seront toutes les personnes jusqu'ici qualifiées d'insolvables, en raison de leurs maigres revenus, ou les populations vivant dans des régions reculées, sans services bancaires.
"Cela va fortement changer nos vies," estime Abbas Godana, professeur dans un lointain district de l'est du Kenya, celui du Fleuve Tana. "On peut accéder au crédit de n'importe où dans le pays. On n'a plus besoin de parcourir des kilomètres jusqu'à notre banque pour remplir des papiers et attendre qu'un responsable approuve le prêt".
Le village de M. Gadana, Cha Mwana Muma, est situé à une trentaine de kilomètres du plus proche centre commercial et de la plus proche banque du coin. Dans cette région côtière pauvre, où les routes sont régulièrement impraticables, effectuer une telle distance peut prendre une journée entière.
En février, trois mois après son lancement, M-Shwari enregistrait déjà pour plus de 235 millions de dollars de transactions (180 millions d'euros). 1,6 million d'utilisateurs avaient déjà eu recours à un prêt ou effectué un dépôt.
M-Shwari n'est pas totalement un produit pionnier: une compagnie de télécoms concurrente, Bharti Airtel, a lancé un service similaire avant Safaricom l'an dernier. Mais l'impact n'a pas été le même.
"Safaricom a l'avantage du nombre" d'abonnés, résume M. Barasa.

Source : AFP

lundi 29 avril 2013

Le code source des Google Glass sur le net

Google a mis en ligne le code source de ses fameuses Google Glass. Sous licence GNU GPL v2, le code source jouit d’un certain succès puisqu’il a été téléchargé plus de 5000 fois en deux jours.

L’archive de 65,7 Mo est disponible sur un site dédié, qui sera bientôt relocalisé sur GitHub. Une disponibilité qui intervient seulement quelques heures après le jailbreak de l’appareil par le hacker Saurik, celui-là même qui a créé la boutique indépendante d’application Cydia.
Ainsi, le code source confirme la possibilité pour l’utilisateur de cligner des yeux pour prendre une photo ou même le zoom réalisé avec un simple mouvement de doigt. Dans le même temps, les premiers tests utilisateurs évoquent la batterie très faible de l’appareil, la batterie se vidant après seulement 30 minutes de vidéo.

VDSL2 : les débits de la fibre avec un câble en cuivre



Le vendredi 26 avril, un comité d’experts a confirmé auprès de l’Arcep la possibilité pour les fournisseurs d’accès à Internet fixe d’utiliser le protocole VDSL2. En jeu, la possibilité pour les consommateurs d’atteindre les débits de la fibre avec des câbles en cuivre.

Dans un communiqué, l’autorité de régulation des télécoms explique que « le VDSL2 est une technologie applicable aux lignes de cuivre et qui permet d'augmenter de façon significative le débit par rapport à l'ADSL », mais que l’intérêt de ce protocole « se limite aux lignes de cuivre dont la longueur n'excède pas 1 km ». Théoriquement, le VDSL2 pourrait, en effet, permettre des débits de l’ordre de 100 Mbits, comme sur la fibre. Seulement, d’après le comité d’experts, « le débit réel maximum observé sur le territoire devrait se situer autour de 50 Mbits ». Le principal intérêt du VDSL2 est donc la possibilité d’accéder à des débits plus rapides à une courte distance du DSLAM sans avoir à modifier les infrastructures réseau en déployant de la fibre.

L’Arcep a également donné son accord pour une utilisation commerciale du protocole VDSL2 par les fournisseurs d’accès à compter de cet automne. En attendant, deux départements vont prochainement faire l’objet d’expérimentation de la part des opérateurs : la Dordogne et la Gironde. 

Des infos sur la DualShock 4 de la PS4



Sony a publié une vidéo sur YouTube donnant des informations sur le contrôleur de sa PlayStation 4. On apprend que la barre bleue qui adorne la manette servira au capteur qui sera intégré à la console. Il permettra de suivre la DualShock 4. Ainsi, si le joueur change de position lors d’une partie à écran partagé, la console pourra modifier la position de la partie du joueur automatiquement. Il affirme aussi avoir modifié la sensibilité des boutons et les textures des joysticks. La DualShock 4 intégrera aussi une enceinte, à l’instar de la Wiimote, afin de mieux immerger le joueur dans le jeu. Sony a aussi parlé de son bouton Share, sans donner plus de précision que ce qu’il avait déjà annoncé. Pour mémoire, le joueur pourra plus facilement partager le contenu de ses parties et ses replays. Enfin, le fabricant explique que la surface tactile sera utilisée pour des gestes assez rudimentaires, comme faire glisser son doigt de bas en haut pour faire défiler un menu ou rejeter un objet.



Sourcehttp://www.tomshardware.fr/articles/PS4-DualShock-4,1-37591.html

Microsoft Office se fond dans Google Chrome



Remarquée, au catalogue des extensions compatibles avec la bêta du navigateur Web Google Chrome 27 pour Windows et OS X, d’une visionneuse de documents Microsoft Office.
Entrevu comme complémentaire à la lecture native des PDF et à la suite hébergée Google Documents, ce greffon intègre un mode « bac à sable » (sandbox) destiné à neutraliser les fichiers malveillants.
Exécuté directement dans le butineur, ce dénommé Chrome Office Viewer (25 Mo, version 28.7.7.25) prend en charge les formats Word, Excel et PowerPoint, sans requérir d’outils tiers, y compris hors ligne.
Il prend en charge l’impression directe et l’export de contenus ; pas leur édition. En outre, les testeurs de la première heure ont relevé plusieurs dysfonctionnements qui compromettent l’expérience utilisateur.
En montant ainsi des passerelles entre son navigateur et la suite Office, Google pose les jalons d’une stratégie « de bout en bout » qui vise à motiver la transition des entreprises vers son offre hébergée.
Le groupe Internet de Mountain View a déjà adressé, au début du mois, un signal fort à Microsoft, en établissant des synergies entre sa solution de stockage en ligne Drive et un autre environnement de bureautique : QuickOffice, hérité du rachat de l’éditeur américain du même nom.

Source : http://www.itespresso.fr/microsoft-office-fond-google-chrome-64270.html

Google enterre la « Meebo Bar » au profit de Google Plus Sign-In

Google a annoncé le retrait définitif de la "barre de Meebo" qui permettait aux éditeurs d'ajouter des fonctionnalités de partage sur les réseaux sociaux à leur site web. L'arrêt du service est programmé le 6 juin. Le système d'identification Google Plus Sign-In, et les différents plug-ins sociaux de Google Plus, prennent la relève.
Après avoir racheté le service de messagerie en ligne Meebo en juin 2012, Google travaillait depuis à enrichir la "barre de Meebo", une application permettant aux éditeurs web d'ajouter différentes fonctionnalités sociales à leurs pages web : comme le partage de contenus sur différents réseaux sociaux (Twitter, Facebook, Google Plus).
Google Plus Sign-In en remplacement
Celle-ci avait été optimisée fin 2012 en vue d'une intégration complète avec Google Plus : les internautes pouvaient ainsi annoter une page en cours de lecture pour la partager avec leurs contacts au sein de Google+, ou encore suivre des notifications de leurs contacts Google + en naviguant sur les pages d'un site supportant cette barre.
Le lancement récent par Google de "Google Plus Sign-in", un système d'identification qui permet une intégration parfaite de Google Plus avec les applications et les sites web tiers, signe logiquement la fin de la barre de Meebo, dont les fonctionnalités sont redondantes. Celle-ci sera effective le 6 juin prochain.
 En savoir plus
La fermeture de la Meebo Bar annoncée sur le site de Meebo

Source : http://www.geekparadize.fr/tech/google-enterre-la-meebo-bar-au-profit-de-google-plus-sign-in/

dimanche 28 avril 2013

[Tutoriel] Le partage entre les applications Windows 8

Après un premier (volumineux) tutoriel au sujet des paramètres de Windows 8, nous allons aujourd’hui nous attarder sur le partage. C’est peut-être une des fonctions les plus intéressantes des applications Windows 8. Celle-ci permet à deux applications de communiquer entre-elles, et ce, même si les applications "ne se connaissent pas".

Deux applications, un contrat

Le fonctionnement est assez simple. Il existe dans Windows un contrat de partage. Celui-ci permet à deux applications de communiquer de manière simplifiée et permet à la première de partager quelque chose avec la seconde. Le « quelque chose » peut être de différente nature, à l’image de ce que nous faisons avec le presse-papier (copier-coller) depuis bien longtemps. On retrouve pèle-mêle par exemple :
  • Du texte (avec ou sans mise en forme);
  • Des fichiers ;
  • Des adresses Web.
Selon ce que la première application partage, la liste des applications « cible » sera différente. Par exemple, l’application SkyDrive peut recevoir des fichiers pour les stocker dans le cloud, l’applications Contacts peut recevoir des adresses Web pour les publier sur Facebook ou Twitter.
Le terme de partage signifie bien un partage entre application et non pas obligatoirement avec d’autres personnes.

Tout passe par la barre de droite

Comme pour accéder aux paramètres, il faut ouvrir la barre droite (par exemple Win+C) et accéder à l’option Partager. Si l’application est capable de partager et qu’elle est en mesure de le faire, vous verrez alors une liste d’application cible possible. Il suffit de taper sur l’application que vous souhaitez utiliser. Par la suite, les options souvent utilisées seront accessibles dans la première partie de la liste. Par exemple, si vous envoyez souvent des adresses Web par e-mail à votre frère, celui-ci apparaîtra en haut de la liste.

Quelques exemples

C’est aussi simple que ça. Maintenant, passons aux exemples.

Internet Explorer

Lorsque vous surfez avec Internet Explorer (en mode Windows Store App), vous pouvez partager la page courante. Par exemple, il est possible de l’envoyer via email, la publier sur Facebook ou Twitter.
Si, avant de partager vous sélectionnez du texte, vous partagerez le texte sélectionné. Il est alors par exemple possible d’envoyer ce texte par email ou de le sauver pour plus tard dans OneNote.
Nous voyons ici qu’une application, selon le contexte, permet de partager différents types de données.

Contacts

L’application Contacts permet quant à elle de partager uniquement un contact. Il s’agit ici de texte mis en forme, avec l’image du contact et toutes les informations sur celui-ci. Les autres vue ne fournissent pas d’options de partage.

Windows Store

Une application vous plait ? Vous voulez le faire savoir ? Partagez-la ! Cette fonction est aussi accessible depuis l’écran d’accueil.

Conclusion

Le partage semble une fonctionnalité cachée, mais le fait qu’elle soit toujours disponible de la même manière permet d’y accéder simplement. Cette fonction est très pratique, alors n’hésitez pas à en abuser ! Et faites nous savoir qu’elles sont vos « paires » d’applications préférées.

La magie du QR Code....



Aujourd'hui, on va parler un peu d'une petite "révolution"  que j'affectionne particulièrement, le Code QR.... D'abord c'est quoi le QR code ?
Le code QR est un type de code-barres en deux dimensions (ou code matriciel datamatrix) constitué de modules noirs disposés dans un carré à fond blanc. L'agencement de ces points définit l'information que contient le code.
QR (abréviation de Quick Response) signifie que le contenu du code peut être décodé rapidement après avoir été lu par un lecteur de code-barres, un téléphone mobile, un smartphone, ou encore une webcam. Son avantage est de pouvoir stocker plus d'informations qu'un code à barres 1, et surtout des données directement reconnues par des applications, permettant ainsi de déclencher facilement des actions comme :
  • naviguer vers un site internet, visiter un site web ou mettre l'adresse d'un site en marque-page ;
  • regarder une vidéo en ligne ou un contenu multimédia ;
  • déclencher un appel vers un numéro de téléphone ou envoyer un SMS ;
  • envoyer un courriel ;
  • faire un paiement direct via son cellulaire (Europe et Asie principalement) ;
  • ajouter une carte de visite virtuelle (vCard, MeCard) dans les contacts, un rendez-vous ou un événement (iCalendar) dans l'agenda électronique ;
  • montrer un point géographique sur Google Maps ou Bing Maps ;
  • afficher un texte ou rédiger un texte libre (sa version la plus grande permet d'inclure un texte d'environ 500 mots);
  • etc.
(Source Wikipedia)

 Par exemple, l'image que vous avez plus haut est un QR que j'ai simplement généré avec mon smartphone. A l'intérieur vous avez un message caché que vous pouvez vous amusez à décrypter avec vos terminaux. Vous n'avez qu'à aller sur Play Store ou App Store pour télécharger une application parmi les milliards qui existent sur la toile. En générale elles sont toutes gratuites, donc n'ayez aucune crainte à ce niveau.

Au tout début de cet article je présentais le QR comme une révolution, parce que pour moi il offre des possibilités infinis en terme de partage d'information. Je m'explique, en 2012 Jean-Thierry Lechein publie le premier livre papier au monde entièrement écrit en Code QR : QR1book.



Sa lecture ne peut s'effectuer qu'à partir d'un périphérique capable de scanner des codes QR : tablette, smartphone ou lunettes de réalité augmentée. Le livre est relié à un système de serveurs de réalité augmentée dynamiques. Chaque page peut délivrer du texte, des images, des vidéos, des fichiers ou des applications


Alors ce livre m'a fait pensé a une chose, imaginé des salles de classe avec des documents de formation entièrement écrit en QR ???? L'avantage de ce système c'est que le contenu des livres pourra être mis a jour et changé continuellement sans que les étudiants ou les parents d'élèves n'aient a acheter de nouvelles éditions ou tout autre chose du genre... Fini l'abattage en masse des arbres pour l'édition des livres, parce que un seul livre suffira a contenir l'information mise à jour infiniment...

Imaginez les possibilités de cette technologie bien utilisée.... Ah oui, avant que j'oublie, le QR code placé plus haut, signifie  : L'avenir ne sera que l'expression de notre imagination....

 A méditer.......

Auteur : Malyck Sangaré

samedi 27 avril 2013

Android 4.3 : Google travaille sur une évolution de Jelly Bean



Alors qu’on attend la Google I/O à la fin mai 2013, on imagine que Google va nous présenter Android 5.0 Key Lime Pie.
Cependant, il semblerait que la firme de Mountain View soit occupé à développer et à tester Android 4.3 ! En effet, Androidpolice a creusé un peu et à trouver des logs sur leurs serveurs avec Android 4.3 et aucune trace d’Android 5.0.




La build associée est JWR23B, soit la même que pour les autres version de Jelly Bean (4.1 et 4.2).
Les appareils tournant sous 4.3 étaient des Nexus 4 et Nexus 7, soit les appareils de Google.
Il reste un mois à Google pour finaliser son développement et j’ai bien peur qu’on ait pas Android 5 mais Android 4.3


Source : http://droidsoft.fr/2013/04/27/android-4-3-google-travaille-sur-une-evolution-de-jelly-bean/

Google interdit les mises à jour hors du Play Store

Depuis que Facebook a proposé le mois dernier une mise à jour de son appli sans passer par le Play Store, Google a décidé de changer sa politique.
Aussi, le géant de la recherche n’accepte plus ce genre de pratique et vient de l’ajouter aux conditions générales de Google Play dans sa dernière version 4.0.27.



Pour rappel, le réseau social de Mark Zuckerberg a récemment tenté l’expérience d’offrir les mises à jour de ses apps, en dehors du circuit habituel sur Android. Google commencerait-il à se comporter un peu plus comme Apple pour faire face à un concurrent trop gênant ?

Source : http://droidsoft.fr/2013/04/26/google-interdit-les-mises-a-jour-hors-du-play-store/

vendredi 26 avril 2013

Internet en 3D

Cartographier internet, c’est une tâche compliquée à laquelle s’est attelée PEER 1 Hosting dans une application. Dans cette application, il est possible de se balader sur internet, mais en 3D.

À l’inverse de la carte d’internet répertoriant les sites, l’application de PEER 1 représente les réseaux mondiaux et leurs interconnexions. Il est alors possible d’avoir une vision globale des hébergeurs, des serveurs, des connexions…
Une application intéressante gratuite, qui plus est. Elle est téléchargeable sur Android et iOS.

Ubuntu 13.04 est là : objectif stabilité et rapidité



Ubuntu continue sont rythme d'une nouvelle version officielle tous les 6 mois, voici donc la première édition de 2013, Ubuntu 13.04 alias Raring Ringtail. Au programme pas de bouleversements tape-à-l'oeil à coups de fonctionnalités qui feraient leur apparition, mais plutôt une mouture qui prône la stabilité, la fiabilité, mais aussi la rapidité, avec un code qui aurait été revu pour améliorer avant tout la qualité de l'OS.

Il y a tout de même de nouvelles choses bien entendu, à commencer par la principale : Unity qui passe en version 7 et qui devrait plaire aux amateurs avec ses nombreuses retouches. Le noyau Linux de son côté passe au 3.8.0-19. Les logiciels intégrés sont également mis à jour bien évidemment, vous aurez droit à Firefox 20 pour la navigation internet, LibreOffice 4.0.2.2 en suite bureautique, Thunderbird 17 pour gérer vos mails, mais aussi des logiciels pour vos photos, vos gravures, etc. Tout ce qui fait d'Ubuntu une des distributions Linux les plus populaires auprès du grand public et de ceux qui veulent se lancer et délaisser leur Windows...


Google Drive synchronise vos documents pour une utilisation hors ligne



Le service de cloud computing  de Google s’améliore un peu plus. Ainsi, à compter d’aujourd’hui, vous pouvez synchronisez tous vos documents et feuilles sur Google Drive automatiquement pour une utilisation hors-ligne. Mais ce n’est pas tout car désormais, grâce à cette mise à jour, Google Drive vous autorise également à créer et éditer vos dessins hors ligne. Des fonctionnalités qui d’ici quelques jours seront accessibles à tous les utilisateurs du service.

Google Drive synchronise automatiquement vos documents pour une utilisation hors-ligne

Afin de profiter des nouvelles fonctionnalités de synchronisation de, même pas besoin de mettre à jour votre application Android mais simplement d’activer le mode hors ligne sur votre compte puis :
  • Rendez-vous sur le site du service de stockage en ligne
  • Dans le Menu de gauche, sélectionnez « Plus » puis « Hors-ligne »
  • Installez le lecteur Chrome Web App, si ce n’est pas déjà fait, puis sélectionnez « Hors-ligne »
Une fois que vous avez activé l’accès hors ligne, il vous suffit alors de vous rendre sur le site de Google Drive pour accéder à vos documents. Seule petite contrainte, disposer du navigateur Chrome ou éventuellement de Chrome OS.
A noter que quelques autres fonctionnalités mineures sont également de la partie. Ainsi désormais Google transfère automatiquement votre photo de profil Google+ et vos groupes de discussions dans le Drive.
Les photos de profil des utilisateurs ayant pris de plus en plus d’importance, compte tenu de l’interactivité et des fonctions sociales qu’elles apportent, celles-ci sont désormais liées à Google, il est donc possible d’ajouter un utilisateur à un cercle directement à partir du Drive.

Enfin, Google a délivré de nouvelles options pour les développeurs, notamment les dossiers de données d’applications et la possibilité d’ajouter des autorisations personnalisées aux fichiers.
L’application Android est à téléchargement gratuitement dans le Google Play Store, si ce n’est pas déjà fait.



Source :  http://www.phonandroid.com/google-drive-synchronise-documents-utilisation-hors-ligne.html

jeudi 25 avril 2013

Utiliser la faille Viber pour dévérrouiller un téléphone Android



Dites donc, ça n'arrête pas en ce moment le ping-pong entre iOS et Android sur comment accéder facilement à un mobile verrouillé.... Dernier exemple en date, Android qui à cause d'une application tierce, peut être déverrouillé en un rien de temps.
L'application en cause s'appelle Viber. Vous la connaissez sans doute puisqu'elle permet de communiquer par écrit et vocalement avec d'autres inscrits (gratuitement) vu que tout passe par le Net. C'est un soft de VoIP si vous préférez. Et c'est tip top, puisque ça tourne sous Android, iPhone, BlackBerry et Windows Phone.
Malheureusement, il est possible en envoyant un simple message texte Viber à destination d'un téléphone victime, de faire sauter sauter le verrouillage grâce à la popup Viber et ainsi d’accéder au clavier puis totalement à l'appareil.
Voici la démo en vidéo :



Aucune communication pour le moment du côté de Viber mais espérons qu'un correctif est en route. En attendant, pas de panique puisque 2 choix s'offrent à vous : Désinstaller Viber ou faire en sorte que votre téléphone reste à chaque instant sous votre surveillance.
Allez iOs, maintenant, c'est à toi.

Source : http://korben.info/utiliser-la-faille-viber-pour-deverrouiller-un-telephone-android.html

Le cloud computing décrypté par Gfi Informatique

« Lost in cloud ». Ce n’est pas le titre de la toute dernière superproduction américaine, mais un simple sentiment face aux (trop ?) nombreuses terminologies et à l’abondante littérature autour du sujet.
Alors le cloud, véritable enjeu ou esbroufe marketing ? Qu’en attendre ? Autant de questions dont il faut trouver les réponses avant de se lancer.


Le cloud computing, l’usage

Sur le marché « commercial » de l’informatique, le cloud computing met l’accent sur l’usage. Avec le cloud, on pense fonctionnalités et uniquement fonctionnalités, sans considération de propriété des plateformes, des réseaux, des machines ou encore des logiciels.
Cette notion a d’ailleurs donné naissance aux principales formes revêtues par le cloud, les “as a Service” : IaaS (Infrastructure as a Service), PaaS (Platform a as Service) et, bien sûr, l’indétrônable SaaS (Software as a Service).

Pourquoi un tel engouement autour du cloud computing ?

Tout d’abord, il faut reconnaître ce qui a rendu possible cet engouement autour du cloud : la disponibilité de réseaux aux débits toujours plus élevés pour des coûts de plus en plus faibles.
Ensuite, si le cloud connaît un tel succès, c’est aussi parce qu’il met en exergue le ou les services rendus : le fonctionnel devient ainsi prioritaire face au technologique. Ceci fonctionne dans le cadre d’une politique d’investissement-amortissement comme dans celui d’une politique de location.
Dans le premier cas, le DSI qui dispose de son cloud privé interne se positionne en tant que fournisseur de services pour les métiers. Dans le second cas, l’entreprise loue des services IT à l’extérieur pour en disposer rapidement et sans investissements (ou très limités).
C’est notamment la raison pour laquelle beaucoup de grandes entreprises ont adopté le cloud hybride : le cloud privé (hébergé en interne ou chez un prestataire) et le cloud public. La DSI elle-même peut d’ailleurs en profiter en externalisant par exemple ses plateformes de tests, tout en conservant en propre ses environnements de production.

Des réalités très distinctes

En d’autres termes, le cloud consiste donc à louer un service IT, physique ou logique, déporté chez un prestataire. Ainsi, il se dispense de sa gestion en interne. Pour autant, selon ses différentes formes, la démarche vers le cloud n’est pas du tout la même et n’aura pas les mêmes conséquences.
Le SaaS est la version jusqu’au-boutiste : en dehors du terminal utilisateur (ordinateur, tablette, smartphone), le Software as a Service intègre l’ensemble de la chaîne applicative, du serveur physique au front-office. Résultat : pas d’investissement, pas de maintenance, pas de mise à jour. Seule une intégration s’avérera indispensable pour interfacer le nouvel outil avec le reste du système d’information.
À l’opposé, l’IaaS est une « simple » déportation de l’infrastructure physique : dans ce cas, l’entreprise se sépare de tout ou partie de ses salles blanches et autres datacenters, mais reste chargée de l’exploitation des plateformes, de l’achat et de la maintenance de ses logiciels, etc. Selon le cas, on parle alors de cloud public (infrastructure mutualisée), cloud privé (dédié en externe, ou interne) ou hybride.

L’avenir de l’informatique ?

La montée en puissance du cloud a eu lieu entre 2010 et 2011. Jusque-là étaient externalisées des fonctions comme le webmail et la gestion du temps (agenda). En 2011, 60 % des DSI envisageaient de « virtualiser » des activités de plateformes stratégiques, comme la production.
Aujourd’hui, toute DSI a en tête une version cloud de ses applications. Avec un effet vertueux sur l’innovation : le cloud implique naturellement certaines contraintes en termes d’industrialisation, donc d’efficacité économique.
Pour autant, il convient de rester à la fois prudent et mesuré. Le cloud n’est pas la réponse ultime à tous les enjeux des systèmes d’information des entreprises. Et dans certains cas, outre des aspects légaux de stockage géographique de données par exemple, des freins purement technologiques résistent.
C’est le cas des plateformes AS400 et autres mainframe d’IBM, qu’il est difficile de « cloudiser ». Pourtant, ces deux plateformes sont encore très présentes dans les entreprises, notamment de l’industrie et des secteurs de la banque et de l’assurance, et particulièrement reconnues pour leur fiabilité, leur intégrité et leur robustesse.
De la même manière, le « zéro investissement » est un miroir aux alouettes : tout dépend une nouvelle fois de quoi on parle. Un logiciel en mode SaaS 100 % indépendant du reste du SI ne nécessitera en effet aucun investissement. À l’inverse, l’investissement logiciel et l’intégration restent une dépense nécessairement immédiate en mode PaaS ou IaaS.

L’informatique professionnelle accessible à tous

Le choix de fonctionner en mode cloud modifie la façon de concevoir, d’acheter et d’exploiter le système d’information de l’entreprise. Les PME sont les premières à en profiter grâce à un tarif d’entrée moins élevé, ce qui leur offre la possibilité d’accéder à une qualité de service jusqu’alors réservée aux grandes entreprises.
Le cloud limite le besoin en personnel, reporté sur les prestataires, qui mutualisent leurs équipes pour l’ensemble de leurs clients. Attention toutefois : là encore, tout est une question de curseur. Une TPE qui fait le choix du 100 % SaaS n’aura besoin d’aucune compétence interne en informatique.
L’externalisation de la seule infrastructure implique, en revanche, de disposer du personnel qualifié pour l’intégration, l’exploitation et la maintenance du système d’information de l’entreprise. Enfin, un poste restera nécessairement à la charge de l’entreprise, c’est celui de la gestion du parc de terminaux. À distance ou non, un utilisateur ne se passe pas d’écrans pour accéder au système d’information de son entreprise…

En conclusion, le cloud : évolution ou révolution ?

On peut considérer que le cloud est une évolution technique, la plupart des technologies utilisées étant existantes depuis longtemps. Mais dans les mœurs, c’est une vraie révolution. Une étude de marché récente montrait que 80 % des DSI envisagent d’avoir un parc serveurs entièrement cloud.
Les mentalités changent, l’utilisation aussi : le poste de travail n’est plus réduit à un PC de bureau unique. Les métiers souhaitent disposer de leur environnement (applications, documents…) où qu’ils soient et quel que soit le terminal qu’ils utilisent. Avec les technologies cloud, c’est désormais possible.

Source : http://www.tomshardware.fr/articles/microsoft-magazine,1-37559.html

mercredi 24 avril 2013

Microsoft cache un routeur Wi-Fi / 3G dans un magazine



Microsoft, pour promouvoir Office 365 — la version par abonnement dans le cloud de sa suite bureautique —, a eu une idée originale : intégrer un routeur Wi-Fi complet dans un magazine. Cette édition du magazine Forbes intègre donc un point d'accès Wi-Fi, un modem 3G et une batterie (rechargeable par USB) directement dans le magazine. La connexion à Internet se limite visiblement au site de Microsoft (pour tester Office 365) et est utilisable pendant 15 jours environ, la fin de l'opération étant prévue le 15 mai 2013. La batterie du point d'accès offre une autonomie annoncée de 3 heures et elle est rechargeable avec une simple prise Micro USB.



Le coût de cette opération n'est pas connu, mais il doit être assez élevé pour Microsoft, même si les retombées marketing sont intéressantes. Notons que des taxis londoniens ont été équipés eux aussi d'un point d'accès Microsoft.

Quand un tweet fait perdre plus de 136,5 milliards

À 19h07 (heure de Paris) hier  le compte Twitter de l’Associated Press (l’AFP américaine) publie « Urgent: Deux explosions à la Maison-Blanche, Obama est blessé ». La nouvelle s’est bien évidemment répandue comme une traînée poudre. Le compte est suivi par près de 2 millions de personnes et a donc été retweeté plusieurs milliers de fois.



Sauf que Barack Obama et la Maison-Blanche sont en pleine forme. Le Tweet était un faux. À 19h10 l’agence de presse poste un démenti sur le réseau social, précisant que le tweet ne présente pas la syntaxe habituelle de l’agence de presse. En réalité le compte a été piraté par l’Armée Syrienne électronique, soutenant Bachar el-Assad, c’est elle même qui l’a revendiqué quelques minutes plus tard… sur Twitter.

Le mal était fait, durant les quelques minutes de « flottement » le Dow Jones perd 143 points, retombant quasiment au niveau de l’ouverture après une matinée de hausse. Difficile de quantifier exactement les sommes perdues dans la panique. Toutefois, comme le note Le Figaro, sur le seul indice S&P 500 (basé sur les 500 plus grandes entreprises américaines) le faux message a entraîné une perte de 136,5 milliards de dollars. Joli score.





Source : http://www.journaldugeek.com/2013/04/24/faux-tweet-dow-jones/


Omni, la révolution des jeux vidéo en réalité virtuelle ?



Que l’on se réveille ! La réalité virtuelle avec la Wii, c’est du passé ! Aujourd’hui, on laisse place au futur du jeu vidéo : l’Omni. Equipé du casque Oculus Rift et d’une reconnaissance faciale Kinect, cette plate-forme retranscrit avec exactitude vos mouvements de façon à ce que vous soyez en totale immersion dans l’univers du jeu vidéo.
Développé pour les FPS (jeu de tir en vue à la première personne), cette machine reste malheureusement assez encombrante. Entre l’Omni et un lit, il vous faudra probablement choisir. Mais on est certains que vous ferez le bon choix ! La société Virtuix qui a imaginé le projet envisage le lancement d’une campagne Kickstarter pour financer son idée.

Source : http://www.minutebuzz.com/geek--virtuiz-casque-oculus-rift-omni-plateforme-revolution-realite-virtuelle-jeu-video-34231/

3 comptes premium Backblaze à gagner

Chers amis, il y a quelques mois, je vous avais promis un petit concours pour gagner des codes pour tester gratuitement Backblaze durant 3 mois et ce jour est arrivé.
Pour ceux qui ne connaitraient pas encore Backblaze, il s'agit d'un service qui permet de sauvegarder en ligne les données de votre ordinateur (Windows ou Mac) pour un peu moins de 4 $ par mois.
Le logiciel est simple à installer et à configurer. En gros, vous choisissez les répertoires que vous souhaitez sauvegarder (ou ceux que vous souhaitez exclure, genre votre dossier rempli de DivX… lol), vous indiquez un bon gros mot de passe qui servira au chiffrement de vos données et vous lancez la sauvegarde.
Pour l'avoir testé, Backblaze ne ralentit pas la machine et sait se faire discret. Ça tourne uniquement sous Mac et Windows et les sauvegardes se font en continu, ce qui vous garantit un backup régulièrement à jour.

Le plus beau là-dedans, c'est que le stockage est illimité. Vous pouvez envoyer autant de téra-octets que vous le souhaitez sur Backblaze sans coût supplémentaire. Bon, la première sauvegarde risque de durer plusieurs mois si vous avez une petite connexion ADSL, mais si vous n'êtes pas pressé, c'est tout bon. Ensuite, c'est de l'incrémental, donc ça va beaucoup plus vite.
Vos données sont alors accessibles en ligne à partir du moment où vous vous souvenez de la clé privée qui a servi au chiffrement de celles-ci et Backblaze conserve 4 semaines de versions sur tous vos fichiers. Du coup, même si vous n'avez pas subi de crash de votre système, mais simplement écrasé un document qui vous est cher, Backblaze permet de remonter dans le temps et de récupérer une version antérieure de votre document.
Niveau sécurité, le chiffrement est effectué sur votre machine avant envoi. D'ailleurs, si vous souhaitez en savoir plus sur le chiffrement appliqué par ce service, je vous invite à lire ce billet.
Enfin, et je terminerai là dessus, si vos données sont détruites, vous pouvez bien évidemment récupérer un gros zip à téléchargement directement sur le site, mais si vous êtes vraiment pressé et qu'il y a plusieurs Gigaoctet ou téraoctet à récupérer, Backblaze vous propose moyennent quelques dollars, de vous envoyer une clé USB ou un disque dur contenant vos fichiers.

Evidemment, comme d'habitude avec tout ce qui est hébergement chez une société tierce, je vous conseille de faire preuve de bon sens et de sauvegarder uniquement des données non sensibles. Ce que j'apprécie avec Backblaze, c'est le côté "place illimité" qui permet de faire le bourrin niveau backup.
Bref, si ça vous dit de tester, j'ai 3 comptes de 3 mois à vous offrir. Pour cela, il suffit de remplir le petit widget Kontest ci-dessous et à laisser faire le Dieu du Random.


Source : http://korben.info/backblaze.html

Western Digital dégaine des disques dur et hybride de 5 mm d’épaisseur

Dans la lignée de ses périphériques de stockage WDxxxxLPVT et WDxxxxLPVX épais de 7 mm, Western Digital commence maintenant à livrer ses premiers disques dur et hybride (SSHD) mesurant 5 mm d’épaisseur.


Plus fins que des smartphones et destinés aux ultrabooks

Les nouveaux WD Blue et WD Black au format 2,5 pouces ont été développés pour intégrer les portables de plus en plus fins et les nouvelles générations d’ultrabooks. Malgré cette épaisseur et un volume réduit en conséquence, ils offrent tout de même une capacité de stockage pouvant atteindre les 500 Go.
Ces nouveaux modèles à interface SATA 6 Gb/s sont jusqu’à 36% plus légers, sont moins bruyants et peuvent encaisser les chocs les plus violents dans une limite de 400G et 1000G respectivement pour les WD Blue et WD Black. Le constructeur américain a développé la technologie nommée ShockGuard qui veille à protéger la mécanique et les surfaces des plateaux contre les chocs.
Avec seulement 17 dB durant les opérations de recherche, le WD Blue est 10% plus silencieux que le lecteur concurrent le plus proche dans sa catégorie.

Nouveau connecteur et nouvel actionneur à deux niveaux

WD a dû également développer un nouveau type de connecteur plus fin qui combine connexion des données et alimentation électrique.
Dans le volume restreint, c’est aussi un nouvel actionneur à deux niveaux qui vient améliorer la précision de l’écriture et de la lecture sur les pistes de données. Un actionneur électromagnétique donne le déplacement de façon approximative tandis qu’un second actionneur à mouvement piézo-électrique positionne précisément la tête.
La version 500 Go du disque dur WD Blue est d’ores et déjà en vente à destination des équipementiers et des distributeurs au tarif de 89 dollars. Les modèles hybrides WD Black sont, eux, expédiés aux constructeurs de PC.
Alors que certains constructeurs tels que Samsung tentent d’accélérer la transition des disques durs vers les SSD, d’autres font des merveilles afin de proposer des disques durs et des lecteurs hybrides avec des caractéristiques et des tarifs toujours plus attrayants.


Source : http://www.silicon.fr/western-digital-degaine-des-disques-dur-et-hybride-de-5-mm-depaisseur-85604.html

Samsung prévoit de sortir un Galaxy S4 qui sera resistant à l’eau et à la poussière

Samsung, toujours dans la crainte d’être surpassé par les concurrents, compte rectifier sa ligne directrice à propos du design de ses mobiles Galaxy. En effet, il semblerait, que la firme sud-coréenne envisage de produire un Galaxy S4 doté d’un nouveau design plus robuste, résistant à l’eau et à la poussière, semblable au Sony Xperia Z.

Ces informations viennent d’être confirmées par le président de la firme, Young Soo Kim, lors du lancement du Samsung Galaxy S4 à Dubaï. Bien sûr, il n’a pas vraiment donné de détails, et disait selon Techview, que la nouvelle conception de son Smartphone phare arriverait dans les semaines à venir, et que le tout serait résistant à l’eau et à la poussière. Ainsi, on ignore encore le design définitif de cet appareil, s’il a toujours la même forme ou si Samsung compte complètement le retravailler. De plus, il est assez frustrant d’imaginer que la firme sud-coréenne n’y avait pas pensé depuis le début, surtout pour les personnes qui ont déjà précommandé le Samsung Galaxy S4 .
Quoi qu’il en soit, les commentaires des internautes sur le design très peu travaillé des mobiles Samsung Galaxy semblent avoir eu une répercussion chez les responsables de ce géant. En effet, des rumeurs sur un design complètement retravaillé du Galaxy Note 3 ont déjà circulé sur la toile. Il reste à savoir si Samsung compte également retravailler la déclinaison en mini du Galaxy S4 qui doit être disponible cet été.
Enfin, on ne sait pas encore la date exacte pour le lancement de ce Galaxy S4 retravaillé, ni s’il sera disponible dans le monde entier, d’ores et déjà que le Galaxy S3 n’avait pas eu droit à ce relooking. Attendons donc un peu pour avoir encore plus d’informations.

Source : http://www.pointgphone.com/samsung-prevoit-de-sortir-un-galaxy-s4-qui-sera-resistant-a-leau-et-a-la-poussiere-37008/


lundi 22 avril 2013

Yahoo! continue son ménage de printemps et ferme 6 services


Toujours dans l'optique de recentrer son activité, Yahoo! ferme de nouveaux services afin de se concentrer sur d'autres.

Alors que la firme a déjà mis à mort 7 services en début de mois,  Yahoo! n’en a visiblement pas terminé avec son ménage de printemps. Sur son blog, la société annonce que dès le 30 avril pas moins de 6 autres services allaient fermer.
C’est le cas notamment de son site/agenda communautaire upcoming.com (dont les informations peuvent être récupérées avant la fermeture) ou encore de Yahoo! Deals dont il est encore possible de récupérer les coupons toujours valides.
Le portail Yahoo! Kids fermera lui aussi ses portes le 30 avril. Les enfants de moins de 13 ans pourront néanmoins toujours créer un compte en passant par les Family Accounts. S’en sera aussi bientôt terminé des alertes SMS. Afin de continuer à être informés des informations, de la météo, de la bourse ou des résultats sportifs, la firme incite ses utilisateurs à faire usage des notifications push de ses applications mobiles.
Enfin, les versions Java de Yahoo! Mail et Messenger seront elles aussi délaissées au profit des versions web. Yahoo! ne fait pas que fermer des services puisque la firme a récemment racheté Summly ou encore mis à jour certaines de ses applications mobiles (dont Yahoo! Mail pour tablettes) et webapps.

Source : http://www.begeek.fr/yahoo-continu-son-menage-de-printemps-et-ferme-6-services-90386?utm_source=mobilesrepublic-feed&utm_medium=feed&utm_campaign=begeek_mobilesrepublic-feed

Une Galaxy Tab 10.1 contrôlée par la pensée étudiée par Samsung

 Maintenant que les smartphones et tablettes répondent aux doigts, à l’œil et à la voix, la prochaine – et peut-être dernière – étape est sans doute de les contrôler par la pensée. Samsung en a bien conscience puisque le Sud-Coréen travaille actuellement sur une solution de télékinésie pour terminaux mobiles.
Comme le rapporte le magazine du réputé MIT, une équipe d’ingénieurs de l’université du Texas collabore en ce moment avec des chercheurs de Samsung pour mettre au point un système capable d’interpréter les ondes cérébrales de l’utilisateur. Ils utilisent en ce moment une Galaxy Tab 10.1 pour les tests, qui s’avèrent probants.
Pour faire fonctionner sa tablette, il suffit à l’utilisateur d’enfiler un casque puis de penser à lancer une application… pour la lancer. Cela fonctionne par exemple aussi pour lire de la musique ou éteindre sa tablette. La technologie est proche de celle employée pour les électro-encéphalogrammes médicaux, l’interprétation en plus.

Elle est cependant limitée. À l’heure actuelle les ingénieurs utilisent divers moyens pour faciliter la reconnaissance des ondes. Cela passe par exemple par des icônes clignotantes à différentes vitesses pour distinguer plus facilement celle qui retient l’attention de l’utilisateur.
Elle est également limitée par le casque qui doit toujours être porté et qui n’est pas des plus discret. Les équipes ont toutefois fait de gros progrès sur ce point. Pour fonctionner il n’est plus nécessaire d’utiliser un « catalyseur » comme un gel ou du liquide entre le crâne et les électrodes. Le temps d’installation est ainsi grandement raccourci.
Les recherches de Samsung sont donc prometteuses, mais nous sommes pas près de les voir appliquées en dehors des labos.


Un million de lignes pour le VDSL2 d’Alcatel-Lucent



Avec sa capacité à transporter jusqu’à 100 Mbit/s (limite crête théorique), le VDSL2 compose une alternative intéressante à la fibre optique pour les entreprises et particuliers situés dans l’environnement proche d’un central téléphonique. Et répond clairement à une demande face à la montée des débits.
Une demande qui profite notamment à Alcatel-Lucent. L’équipementier franco-américain a annoncé avoir livré sa millionième ligne de vectorisation VDSL2. Cette technologie permet aux opérateurs de fournir du très haut débit sur une infrastructure cuivre, par définition déjà déployée.

Une quarantaine d’essais

Si les 100 Mbit/s sont atteints sur des distances limitées à 400 mètres, la vectorisation VDSL a l’avantage d’homogénéiser la qualité du service sur l’ensemble des lignes de l’opérateur, quel que soit leur qualité.
Pas moins de onze opérateurs ont fait appel à Alcatel-Lucent pour « amplifier » leur réseau de communication, dont Belgacom et Telekom Austria.
Et une quarantaine d’essais sont en cours chez TDC Denmark, P&T Luxembourg ou China Telecom. L’équipementier y teste notamment le bonding, technique qui vise à doubler la distance capable de maintenir le 100 Mbit/s.

59 millions de lignes

« La vectorisation VDSL2 peut indiscutablement soulager les opérateurs aux prises avec une demande pressante de haut débit », avance Teresa Mastrangelo, fondatrice du cabinet d’analyses Broadbandtrends, qui souligne l’avance d’Alcatel-Lucent sur le marché de la vectorisation.
Un marché appelé à couvrir 59 millions de lignes en 2017, comme l’indique l’infographie réalisée par l’équipementier, et sur lequel il entend être l’acteur dominant, sans néanmoins remettre en cause les technologies du futur.
« Alcatel-Lucent veut aider les opérateurs à fournir plus de débit, plus vite, explique Federico Guillén, président de l’activité Réseaux fixes de l’entreprise. Du fait de sa performance, de sa rapidité de déploiement, et de son faible coût, la vectorisation VDSL2 représente une proposition viable qui leur permettra d’atteindre leurs objectifs haut débit immédiats, mais nous restons aussi leur partenaire dans le domaine FTTH, pour leurs objectifs à long terme. »

Source : http://www.silicon.fr/un-million-de-lignes-pour-le-vdsl2-dalcatel-lucent-85495.html


myTube, nouveau client Youtube sur Windows Phone



Nous vous présentons aujourd'hui un nouveau client YouTube sur la plateforme Windows Phone : myTube. Innovant et très réussi graphiquement, il propose quelques fonctionnalités très intéressantes et uniques. Vaut-il le détour ?
myTube est disponible depuis peu sur le Windows Phone Store. Proposé à 0.99€, il dispose d'une version d'essai gratuite mais avec des fonctionnalités réduites. Si cette première application est uniquement compatible avec les terminaux sous WP8, son éditeur serait en train de prévoir une version pour Windows Phone 7.8. 
Innovant et intuitif, voici les deux mots qui résument parfaitement ce nouveau client YouTube. L'une des meilleures fonctionnalités est de pouvoir lire une vidéo tout en naviguant dans l'application : vous pourrez par exemple lire les commentaires ou visualiser les vidéos associées, la vidéo tournera en arrière-plan. Une fonction qui s'avère très pratique dans l'utilisation de YouTube. En terme d'interface, myTube reprend le design Modern UI de Microsoft et propose une navigation très intuitive et ergonomique. Pour le reste, l'application est très complète et permet de profiter pleinement de la plateforme vidéo de Google depuis son mobile.
L'éditeur, Ryken Apps, est ouvert à toute remarque du fait que l'application n'est qu'en première version. En attendant, elle devient un sérieux concurrent à l'excellent MétroTube.

Télécharger myTube

myTube est disponible dès maintenant sur le Windows Phone Store aux prix de 0.99€ (avec version d'essai). Cliquez sur le logo ci-dessous ou flashez le QR-Code avec votre Windows Phone.
  • Nom : myTube
  • Éditeur : Ryken Apps
  • Prix : 0.99€ (avec version d'essai)
  • Version : 1.0.2
  • Poids : 1Mo
  • Compatible : WP8



 

dimanche 21 avril 2013

Google supprime 32 applis du Google Play contenant le trojan BadNews



Google vient de supprimer 32 applications du Google Play Store contenant le trojan BadNews. Ce dernier avait été installé sur plus de 2.000.000 d’appareils Android qui contenait alors un faux réseau publicitaire  !
Derrière des applications gratuites se trouvait en fait un réseau publicitaire malintentionné qui proposaient des virus plutôt que de vrais applis derrière.
En plus de servir des annonces pour d’autres applications moins populaires contenant le code BadNews, ce trojan a la capacité d’envoyer certaines de vos données personnelles (y compris votre numéro de téléphone et IMEI) à un serveur. Il affiche également de faux messages d’information sur les mises à jour d’applications et des liens vers des logiciels malveillants qu’un utilisateur peut installer en dehors de Google Play.
Les applications incriminées, réparties dans quatre comptes développeurs différents, ont été donc retirées du Google Play. Si vous pensez que vous avez été touché, la demande de sécurité de Lookout pourra vous aider à identifier les applis à supprimer.
Encore une fois, lorsque vous installez une appli, vérifier bien qu’elle ne vous demande pas l’accès au téléphone alors que l’application ne devrait pas en avoir besoin (comme un jeu par exemple).

Source : http://droidsoft.fr/2013/04/21/google-supprime-32-applis-du-google-play-contenant-le-trojan-badnews/

Simple Downloader Mp3 : app gratuite Android

L’app gratuite Android du jour est Simple Downloader Mp3, un utilitaire ultra simple pour chercher et télécharger gratuitement vos musiques préférées !
Une application parmi des centaines qui font la même chose. Le plus : une simplicité sans faille !


Entrez votre nom de chanson ou artiste et regardez la liste des résultats. Un tap sur une ligne et vous avez la possibilité de télécharger ou d’écouter.
Lancez maintenant votre lecteur de musique préféré et profitez du bon son :)

Source : http://droidsoft.fr/2013/04/21/simple-downloader-mp3-app-gratuite-android/



Il y a 24 ans... la sortie du Game Boy



Il y a 24 ans, Nintendo lançait le Game Boy (comme le confirme Bernard Pivot). Cette console portable était une révolution : elle offrait la possibilité de jouer à différents jeux en déplacement, avec un système de cartouches. Et le jeu fourni avec la console, Tetris, a été un choix judicieux : très addictif, il a eu un énorme succès. Le cofondateur d'Apple — Steve Wozniak — était tellement fan de ce jeu qu'il a été champion — consacré par le magazine Nintendo Power — sous le pseudo Evets Kainzow, avec un score de 546 145 points.
Le Game Boy a été décliné en plusieurs versions : le classique modèle beige, des versions colorées, une version Pocket (plus compacte) et même une version équipée d'un rétroéclairage pour l'écran, la plus recherchée. Nintendo a même sorti quelques accessoires pour l'appareil, comme une caméra ou une imprimante. Pour l'anecdote, la caméra a été utilisée pour la pochette d'un album de Neil Young.
Notons que si le Game Boy est sorti au Japon le 21 avril 1989, il a fallu attendre le 28 septembre 1990 pour qu'il débarque en France.

Source : http://www.tomshardware.fr/articles/game-boy,1-37405.html