Le vendredi 26 avril, un comité d’experts a confirmé auprès de l’Arcep la possibilité pour les fournisseurs d’accès à Internet fixe d’utiliser le protocole VDSL2. En jeu, la possibilité pour les consommateurs d’atteindre les débits de la fibre avec des câbles en cuivre.
Dans un communiqué, l’autorité de régulation des télécoms explique que « le VDSL2 est une technologie applicable aux lignes de cuivre et qui permet d'augmenter de façon significative le débit par rapport à l'ADSL », mais que l’intérêt de ce protocole « se limite aux lignes de cuivre dont la longueur n'excède pas 1 km ». Théoriquement, le VDSL2 pourrait, en effet, permettre des débits de l’ordre de 100 Mbits, comme sur la fibre. Seulement, d’après le comité d’experts, « le débit réel maximum observé sur le territoire devrait se situer autour de 50 Mbits ». Le principal intérêt du VDSL2 est donc la possibilité d’accéder à des débits plus rapides à une courte distance du DSLAM sans avoir à modifier les infrastructures réseau en déployant de la fibre.
L’Arcep a également donné son accord pour une utilisation commerciale du protocole VDSL2 par les fournisseurs d’accès à compter de cet automne. En attendant, deux départements vont prochainement faire l’objet d’expérimentation de la part des opérateurs : la Dordogne et la Gironde.
Dans un communiqué, l’autorité de régulation des télécoms explique que « le VDSL2 est une technologie applicable aux lignes de cuivre et qui permet d'augmenter de façon significative le débit par rapport à l'ADSL », mais que l’intérêt de ce protocole « se limite aux lignes de cuivre dont la longueur n'excède pas 1 km ». Théoriquement, le VDSL2 pourrait, en effet, permettre des débits de l’ordre de 100 Mbits, comme sur la fibre. Seulement, d’après le comité d’experts, « le débit réel maximum observé sur le territoire devrait se situer autour de 50 Mbits ». Le principal intérêt du VDSL2 est donc la possibilité d’accéder à des débits plus rapides à une courte distance du DSLAM sans avoir à modifier les infrastructures réseau en déployant de la fibre.
L’Arcep a également donné son accord pour une utilisation commerciale du protocole VDSL2 par les fournisseurs d’accès à compter de cet automne. En attendant, deux départements vont prochainement faire l’objet d’expérimentation de la part des opérateurs : la Dordogne et la Gironde.
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